Par un frais matin d'été, je me suis faufilée

Cherchant vos pas, je me suis perdue

J'étais pourtant attendue

Si les loups de la vallée ne m'ont pas entendue, l'absence, agrippée aux écorces, m'a gentiment répondu

A travers les chemins enchantés, la lumière ne s'en est jamais allée

Les oiseaux se souviennent

Votre terre n'a qu'une patrie

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Isabelle Caussé, août 2021

Paris photographies